Après Jean-Luc Mélenchon, ex-candidat à l’élection présidentielle, c’est au tour de Smart de jouer avec les mots « belle » et « rebelle » à travers le procédé stylistique de la personnification (attribution de caractéristiques humaines à une chose).
Or, malgré leur apparente racine commune, ces deux adjectifs issus du latin ont historiquement des sens opposés.
Belle est dérivé de bonus qui veut dire « bon » alors que Rebelle vient de bellum et signifie « qui recommence la guerre ».